Qui suis-je ?


Infirmier de formation, j’ai d’abord soigné à l’hôpital public avant de prendre un poste d’infirmier conseil dans le privé. Je quitte ce poste en 2020 pour entamer ma formation en hypnose à l’ARCHE, Paris (Académie de Recherche et Connaissances en Hypnose Ericksonienne). J’obtiens mon diplôme de praticien en mars 2021 et je poursuis dans la même école avec une formation en neurosciences achevée en décembre 2021.


J’ai été attiré par l’hypnose ericksonienne en raison de deux de ses principes de base :

1) La personne détient les clefs de ses problèmes. En tant que praticien, j’adopte une position basse, c’est-à-dire que je n’apporte pas de solution, mais j’aide la personne à les trouver en soi. Les outils proposés par l’hypnose ericksonienne dans cette optique sont nombreux et puissants.

2) S’il existe un territoire identique pour tous, chacun en a une carte différente. Cela signifie que chaque personne expérimente une réalité qui lui est propre. Au-delà de l’importance immédiate pour la thérapie, cette idée me procure personnellement une grande tolérance qui est une valeur essentielle pour moi.

Par ailleurs, je suis convaincu que nous fonctionnons la plupart du temps sur un mode inconscient à partir principalement d’apprentissages reçus dans notre enfance. La méditation, qui nous invite à observer nos pensées, m’a permis de réaliser à quel point ce mode définit notre réalité. Pour moi l’hypnose est une sorte de méditation « active » dans laquelle on va non seulement observer ces schémas, mais on va aussi pouvoir les modifier, les réinterpréter. Il est possible d’effectuer cela tout seul, mais l’accompagnement par un praticien neutre et bienveillant facilite énormément ce travail.

Amoureux de la beauté de notre planète, j’ai effectué les pèlerinages de Compostelle depuis ma maison ainsi que celui de Saint Olav en Norvège. J’ai vécu un an en Amérique du Nord et j’ai été initié à une technique de méditation au Canada.